Low batterie.
Fatigue (grosse).
Passé un niveau, elle empêche de traiter les informations.
Il y a saturation.
Et pourtant tant à faire…
C’est la baisse de productivité.
Pourtant il faudrait :
- prendre rendez-vous pour mon contrôle technique (et changer d’abord ce qu’il faut) ;
- déterminer le plan de ma nouvelle page d’accueil ;
- finir l’article sur les émotions positives, auquel rajouter le carnet à créer, les visuels et la communication à planifier ;
- mettre à jour mon e-book ;
- créer des catégories ;
- définir mes priorités éditoriales et SEO ;
- sans parler de Pinterest qui décline pour la première fois depuis que je m’y suis mis sérieusement ;
N’oublions pas Instagram qui plafonne à 670 followers. Que d’efforts (pas du tout rentables !)
Je devrais aussi :
- apprendre à me servir d’Adobe Première Pro pour faire mes premiers montages vidéo ;
- penser en priorité aux clients qui attendent leurs textes optimisés.
Semaine « déceptive »(oui je sais)
Mais ce fut une semaine de relative déception et surtout de grosse baisse de tension.
- Mon ancienne formatrice m’a dit que je ne suis pas un blog modèle pour ses rédacteurs web en devenir (ça m’a plombé) ; c’est en partie vrai, mais bon…
- Aucun retour de mes anciens collègues suite à ma grosse « com » pour mon podcast.
- Très peu de retour à ce sujet des autres ;
- J’ai cru avoir des nouvelles de mon IDV, en vain.
- Je n’arrive pas à avancer ma formation SEO.
- J’ai tout fait au forceps, sans peps.
- Well…
Comment briser le cercle ?
Car la frustration amène une fatigue corollaire.
STOP.
Le reste attendra.
Et tant pis pour mon gros article du défi qui barbotera une troisième semaine.
Peu importe pour l’avance que je dois commencer à prendre pour les mois à venir.
Mon corps, mon mental se vident.
C’est la zone de réserve orange.
Mieux vaut se poser.
Vraiment.
Décrocher et laisser agir tranquillement ce magnifique espace autonome que tu peux aussi retrouver dans la nature.
Le plaisir et le bien être sont un préalable à l’efficacité.
Dur de lutter contre un système culturel et génétique qui donne l’injonction du labeur et de la souffrance (gage d’accès au paradis,quelle foutaise !)
Les points +
Les points positifs de cette saturation et de cette oppression ressenties ; (je suis obligé de les poser sur le clavier pour les voir) :
-
- j’ai étendu mon corps et me suis reposé à 4h de l’après-midi ce qui m’a permis d’écrire ceci ensuite (et donc au moins de tenir mon engagment d’un contenu par semaine sur le blog ;
- mon coude guérit malgré ma fatigue générale, j’ai repris la natation qui est une merveille de rééducation ;
- je devrais intégrer une superbe formation diplômante en septembre en aménagement paysager ;
- ma compagne a beaucoup apprécié mon podcast ;
- j’ai décidé de faire une vraie pause.
- j’ai la PS3 avec Top Spin 4, youhouuu ! Bon honnêtement, j’ai résisté aux tentations de jouer plutôt que de travailler.
Une chose est évidente.
Le bonheur, c’est le bien être avant tout le reste.
La productivité s’adapte ensuite au temps qu’il reste.
Non ?
Je suis freelance, je dois apprendre à ne plus m’imposer de souffrance.
En plus, je suis destiné à te guider pour aller de mieux en mieux.
Oh Ju, montre l’exemple.
Alors voilà.
Je suis au fond du seau.
Je le couche, le temps qu’il se vide, et je respire. (oui c’est un seau plein d’eau)
Bon repos à tous.
Salut Robin, courage à toi ! il y a des jours ou j’ai du spleen aussi car je suis en retard sur mes objectifs de publier tel article tel jour… c’est la persévérance et le travail avec toujours le même focus qui nous fera y arriver 🙂
Merci Maud, deux petits jours de repos, et c’est reparti ! Comme la menthe, je rhizome ! 🙂 Bon courage à toi aussi. Pour info, je suis pris en formation aménagement paysagers dès septembre, et pendant 8 mois !!!!🌲🌳🌴🌵🤠
On the road again ! (je ne sais pas si c’est une chanson ou un Mantra !?)
« Nous étions jeunes et larges d’épaules
Bandits joyeux, insolents et drôles
On attendait que la mort nous frôle
On the road again, again
On the road again, again »
Bernard Lavilliers.
Merci pour ton encouragement César.
Ce temps en off m’avait fait un bien fou !
Bon courage à toi, Far far away !